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“5 étapes pour oser changer de vie”
Et si vous commenciez AUJOURD’HUI à vivre la vie que vous désirez vraiment… ?
Les émotions telles que la colère ou les ruminations peuvent être envahissantes, épuisantes et vous vider de votre énergie et de votre optimisme.
Elles vous font tourner en rond et ressasser les mêmes pensées encore et encore, ou bien vous indigner face à une situation choquante ou injuste.
Bien qu’elles cherchent avant tout à vous protéger, elles vous font basculer dans un monde plutôt noir dans lequel vous vous retrouvez souvent seul face à un monde souvent hostile, ou pire, indifférent.
Avec l’expérience, vous savez que cette voie est une impasse, et que rester dans cette posture de combat ne va conduire qu’à vous épuiser, et vous démoraliser, puisqu’à l’extérieur rien ne change véritablement.
Aussi, savoir canaliser vos émotions, et les apaiser progressivement, est la seule voie qui va vous permettre de vous reconnecter avec cette partie profonde de vous, calme, sage et puissante qui va savoir trouver des solutions là où tout semble bloqué.
Pour vous aider, j’ai sélectionné pour vous, ici :
. 2 méditations guidées, spécialement créées pour vous apprendre à vous réconcilier avec vos émotions douloureuses ou envahissantes, et,
. 4 textes écrits par Louise HAY et Thich Nhat Hanh qui vous éclaireront sur la façon d’apaiser votre colère
Méditation des émotions 15 minutes
de Pascale PICAVET, thérapeute holistique
Méditation Ho’oponopono – Se pardonner
de Flore POWER, thérapeute et énergéticienne
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Méditation guidée – Apaiser sa colère et trouver la paix
Vous pouvez également retrouver la méditation guidée “Apaiser sa colère et trouver la paix” que j’ai construite pour vous dans la boutique d’Objectif Nouvelle Vie.
En cliquant sur le lien, vous bénéficierez d’une remise spéciale (appliquée lors de la validation de votre commande) réservée aux lecteurs de ce pdf :
Et voici, ci-dessous plusieurs textes dans lesquels les auteurs vous expliquent leur façon d’appréhender la colère et d’apaiser cette émotion envahissante.
Extrait de 21 jours pour maîtriser les affirmations positives
de Louise HAY, conseillère psychologique américaine, enseignante et conférencière
Jour 8 : Le pardon
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Le pardon, notre thème du jour, est une question difficile pour beaucoup.
Nous avons tous un travail à faire sur le pardon. En particulier, cela concerne toute personne qui a des difficultés à s’aimer.
Le pardon ouvre notre cœur et nous aide à nous aimer.
***
Beaucoup portent en eux des rancoeurs depuis des années. Nous faisons preuve de suffisance en raison de ce que l’on nous a fait.
Notre rancoeur est comme une prison dans laquelle nous nous enfermons. Nous estimons avoir raison. Mais cela se fait au détriment de notre bonheur.
J’en entends certains me dire: «Mais vous ne savez pas ce qu’on m’a fait ; c’est impardonnable.»
Ne pas vouloir pardonner, c’est se condamner. Être amer, c’est comme avaler une cuillerée de poison tous les jours.
Cela s’accumule et vous fait du mal. Il est impossible d’être libre et épanoui quand on reste attaché au passé.
***
L’incident est terminé depuis longtemps. Il est vrai qu’on vous a fait du tort. Mais c’est fini. Peut-être avez-vous le sentiment que pardonner à autrui revient à dire que ce que l’on vous a fait n’est pas grave.
L’une des plus grandes leçons spirituelles que nous devons retenir est que chacun fait de son mieux à un moment donné.
Les actes d’autrui sont limités par leur degré de compréhension, de conscience et par leurs connaissances. Toute personne faisant du tort à autrui a invariablement été elle-même malmenée pendant son enfance.
Plus la violence subie aura été forte, plus cette personne aura souffert, plus elle s’exprimera avec véhémence.
Cela ne veut pas dire que son comportement est acceptable ou excusable. Cependant, pour notre évolution spirituelle, nous devons avoir conscience de sa souffrance.
***
L’incident est terminé. Peut-être depuis longtemps.
Lâchez prise. Sentez-vous libre. Sortez de votre prison et exposez-vous à la lumière.
Si l’incident n’est pas encore terminé, demandez-vous pourquoi vous continuez de tolérer la situation, c’est-à-dire de vous rabaisser. Pourquoi persistez-vous ?
Ne perdez pas votre temps à essayer de “prendre votre revanche”. Cela ne marche pas. On récolte ce que l’on sème.
Lâchez prise sur le passé et aimez-vous dans le présent. Ainsi, votre avenir sera radieux.
***
C’est la personne à qui vous avez le plus de mal à pardonner qui a le plus de choses à vous apprendre.
Quand vous vous aimerez suffisamment pour transcender cette situation difficile, la compréhension et le pardon viendront aisément. Et vous serez libre.
La liberté vous fait-elle peur ? Vous sentez-vous plus en sécurité en restant coincé.e dans votre vieille rancœur et dans votre vieille amertume ?
***
(…) Phénomène intéressant, quand on travaille sur le pardon, il n’est pas rare que la personne concernée réagisse.
Il n’est alors pas nécessaire d’aller la voir pour lui dire qu’on lui pardonne. Parfois, on en a envie, mais cela n’est pas nécessaire. L’essentiel du travail se fait dans notre cœur.
***
Le pardon concerne rarement autrui. C’est nous qui sommes les premiers concernés. Il est même possible que la personne à laquelle vous devriez pardonner soit morte.
J’ai entendu de nombreuses personnes me raconter qu’elles avaient sincèrement pardonné à quelqu’un et qu’un ou deux mois plus tard, elles avaient reçu un appel téléphonique ou un courrier de la personne concernée pour leur demander pardon.
Cela semble particulièrement vrai quand les exercices de pardon sont faits devant un miroir.
Aussi, en faisant cet exercice, remarquez la profondeur de vos sentiments.
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Extrait de Prendre soin de l’enfant intérieur, faire la paix avec soi
de THICH NHAT HANH, moine bouddhiste vietnamien militant pour la paix
L’énergie de pleine conscience
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L’énergie de pleine conscience nous permet de reconnaître et de soigner le petit enfant qui vit en chacun de nous, notre « enfant intérieur ».
Mais comment cultiver cette énergie ?
(…) Dès que quelqu’un touche notre graine de colère en disant ou en faisant quelque chose qui nous irrite, celle-ci va germer et se manifester dans notre conscience mentale sous forme de formation mentale de la colère. (…)
Chaque fois qu’elle émerge dans notre salon et se manifeste sous la forme d’une formation mentale, la première chose à faire est de toucher la graine de pleine conscience et l’inviter à se manifester elle aussi.
(…) nous ne voyons donc pas la colère comme un ennemi.
Colère et pleine conscience font toutes deux partie de nous ; et cette dernière n’est pas là pour supprimer ou combattre la colère, mais, au contraire, pour la reconnaître et en prendre grand soin.
Elle est là, comme un grand frère qui aiderait son plus jeune frère. C’est ainsi que l’énergie de colère peut être reconnue et tendrement enveloppée par l’énergie de pleine conscience.(…)
LE RÔLE DE LA PLEINE CONSCIENCE
La première fonction de la pleine conscience est de reconnaître, et non de combattre.
Nous pouvons nous arrêter à tout moment et prendre conscience de notre enfant intérieur.
Quand nous le reconnaissons pour la première fois, tout ce que nous avons à faire est d’être conscient de sa présence et de lui dire bonjour. C’est tout.
L’enfant est peut-être triste. Si c’est le cas, nous pouvons simplement respirer en pleine conscience et dire : « J’inspire, je sais qu’il y a de la tristesse en moi. Bonjour ma petite tristesse. J’expire, je vais prendre bien soin de toi. »
***
Quand nous avons reconnu notre enfant intérieur, la deuxième fonction de la pleine conscience est de l’entourer de toute notre tendresse. C’est une pratique très agréable.
Au lieu de combattre nos émotions, nous prenons bien soin d’elles. Nous avons d’ailleurs une grande alliée que nous offre la pleine conscience : la concentration.
Si nous reconnaissons, étreignons avec douceur l’enfant, le prenant tendrement dans les bras, quelques minutes suffiront à apporter de l’apaisement.
Les émotions difficiles seront encore là, mais nous ne souffrirons plus autant.
***
Après avoir reconnu et enveloppé avec grande douceur et tendresse l’enfant, la troisième fonction de la pleine conscience sera de soulager nos émotions difficiles.
Dès que nous entourons tendrement cet enfant, les émotions difficiles s’apaisent et nous commençons à nous sentir mieux.
***
Ainsi, prenant bien soin de nos fortes émotions, avec grande douceur, et les baignant de notre pleine conscience et de notre concentration, nous serons en mesure d’en percevoir les racines.
Si nous percevons mieux d’où vient notre souffrance, celle-ci pourra s’apaiser, tout naturellement.
C’est ainsi que la pleine conscience peut à la fois reconnaître, étreindre tendrement et soulager.
C’est encore cette même énergie qui pourra donner naissance à l’énergie de la concentration et, à son tour, à l’énergie de la vision profonde, qui a le pouvoir de nous libérer.
La concentration nous aide à nous focaliser sur une seule chose à la fois, et c’est alors que notre vision peut s’approfondir, s’élargir, permettant ainsi une sorte de percée dans la réalité.
Si notre pleine conscience est présente et que nous parvenions à la maintenir pleinement vivante, la concentration se manifeste, elle aussi. Et, si nous la gardons bien présente, c’est la vision profonde, libératrice, qui pourra ensuite émerger.
Nous voyons donc que l’énergie de pleine conscience est véritablement celle qui nous permet de regarder en profondeur et d’acquérir la vision profonde dont nous avons besoin pour rendre possible toute transformation.
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Extrait de force est en vous
de Louise HAY
Le pardon est la clé de la liberté
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Je demande souvent à mes patients : “Que préférez-vous, avoir raison ou être heureux ?”
En fonction de nos propres perceptions, nous avons tous des opinions sur qui a raison et qui a tort, et pouvons tous aisément justifier nos sentiments.
Nous voulons châtier les autres pour ce qu’ils nous ont fait ; cependant, c’est nous qui ressassons interminablement le film dans notre esprit.
Il est stupide de nous punir dans le présent parce que quelqu’un nous a blessés dans le passé.
Pour nous libérer du passé, nous devons être disposés à pardonner, même si nous ne savons pas comment.
Le pardon signifie renoncer aux pensées rancunières et lâcher prise. Un état de rancune est destructeur d’une partie de nous-même.
***
Quelle que soit votre vie spirituelle, vous vous rendrez compte que le pardon est essentiel à tout moment, mais plus particulièrement quand il y a mal-être.
Quand nous sommes malades, nous devons vraiment regarder autour de nous et voir à qui il est nécessaire de pardonner.
Et généralement la personne à qui nous vouons une rancune tenace et éternelle est celle-là même à qui nous devons pardonner en priorité.
Notre rancune ne gêne pas le moins du monde celui qui en est la cible, mais elle est en revanche désastreuse pour nous. Ce problème est le nôtre, pas le sien.
***
Vos rancunes sont aussi liées au pardon que vous êtes prêt à vous accorder à vous-même.
Formulez l’affirmation que vous souhaitez réellement pardonner à tout le monde.
“Je souhaite m’affranchir du passé. Je souhaite pardonner à tous ceux qui ont pu me blesser et je me pardonne d’avoir blessé les autres.”
Si vous songez à quelqu’un qui a pu vous faire du mal à un moment particulier, bénissez cette personne avec amour et libérez-la, puis n’y pensez plus.
***
Je n’en serais pas là où j’en suis actuellement si je n’avais pas pardonné à ceux qui m’ont fait du mal.
Je ne voudrais pas me punir aujourd’hui de ce qu’ils m’ont fait dans le passé.
Je ne prétends pas que cela a été facile. Mais je peux désormais considérer ce passé et constater: “Oui, c’est arrivé.” Cependant, je ne vis plus là-bas.
Ce n’est pas la même chose que pardonner leur attitude.
***
S’il vous semble avoir été dupe de quelqu’un, sachez que personne ne peut vous prendre quoi que ce soit qui vous appartienne réellement.
Ce qui est à vous reviendra en temps voulu. Ce qui ne vous revient pas ne vous était pas destiné.
Vous devez accepter et poursuivre votre chemin.
***
Pour vous libérer, vous devez abandonner vos rancunes soi-disant justifiées et cesser de vous apitoyer sur vous-même.
En vous prenant en pitié, vous devenez cette pauvre femme, ce pauvre homme qui n’a aucun pouvoir.
Pour tenir ce pouvoir bien en main, vous devez redresser la tête et prendre vos responsabilités.
***
Accordez-vous un instant. Fermez les yeux et imaginez un beau ruisseau devant vous.
Prenez la vieille expérience douloureuse, la souffrance, la rancune, et jetez toute l’histoire dans le ruisseau.
Voyez-la qui commence à se dissoudre et à dériver avec le courant avant de disparaître totalement.
Faites cet exercice aussi souvent que possible.
***
Les temps sont à la compassion et à la guérison. Rentrez en vous et reliez-vous à cette partie de vous-même qui connaît le secret de la guérison.
Vous avez d’incroyables possibilités. Soyez désireux d’atteindre d’autres niveaux pour trouver les capacités dont vous n’aviez pas même conscience, pas seulement pour guérir le mal-être, mais pour vous guérir réellement à tous les niveaux possibles.
Pour retrouver votre être global au sens le plus profond du mot. Pour accepter chaque partie de vous-même et chaque expérience que vous ayez jamais vécue, et pour savoir que tout concourt à créer la trame de votre existence.
***
J’aime Le Livre d’Emmanuel. Il comporte un excellent message.
La question à Emmanuel est :
“Comment pouvons-nous vivre de douloureuses expériences sans devenir amers?”
Et Emmanuel répond :
“En les considérant comme des leçons et non comme des châtiments. Faites confiance à la vie, mes amis. Quelque lointaine que soit la destination où semble vous mener la vie, ce voyage est nécessaire. Vous êtes venus pour traverser un large espace d’expérience afin de vérifier où réside la vérité et où se situe votre distorsion dans cet espace. Vous pourrez alors retourner dans votre vrai foyer, votre âme, rafraîchis et plus sages.”
***
Si seulement nous pouvions comprendre que tous nos prétendus problèmes ne sont que des occasions pour nous de grandir et de changer, et que la plupart d’entre eux proviennent des vibrations que nous avons émises !
Il nous suffit simplement de changer notre façon de penser, d’être prêts à éliminer la rancœur et désireux de pardonner.
Extrait de La vie vous aime : 7 exercices spirituels pour aimer votre vie
de Louise HAY et Robert HOLDEN
Exercice 1 : Accepter que la vie vous aime
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“Aimez-vous autant que vous en serez capable, la vie vous rendra cet amour.” Louise Hay, Transformez votre vie.
Louise et moi sommes attablés chez M. A’s, l’un de ses restaurants préférés. Nous partageons un excellent repas arrosé d’un délicieux bourgogne, face à une vue panoramique sur San Diego.
Je suis venu de Londres pour poursuivre nos échanges, et nous sommes tous les deux très excités et reconnaissants de la chance qui nous a été donnée de pouvoir travailler ensemble.
Pendant le repas, j’offre un cadeau à Louise, un miroir de poche en argent avec une inscription : La vie vous aime. Louise sourit. Elle l’ouvre et regarde le miroir.
« Bonjour Lulu, dit-elle à voix haute. N’oublie jamais que la vie t’aime et que la vie veut le meilleur pour toi. Tout va très bien. »
Elle marque une pause, puis me tend le miroir avec une étincelle au fond des yeux.
« À votre tour, jeune homme. »
***
Le premier exercice spirituel mis au point par Louise et moi-même associe l’amour de soi et le travail du miroir. Il se compose de deux parties. Comptez environ quinze minutes pour le réaliser, en sachant que ses bénéfices dureront la vie entière.
Le seul objet dont vous ayez besoin pour pratiquer cet exercice est un miroir. N’importe quel miroir.
Avant de commencer, nettoyez-le, car vous allez rencontrer la personne la plus importante de votre vie.
Rappelez-vous que votre relation avec cette personne (vous) influence vos relations avec tous ceux – et ce – qui vous entourent.
Vous êtes prêt ? Asseyez-vous confortablement, regardez le miroir et respirez profondément.
Dites-vous, « La vie t’aime (ou la vie m’aime) » , puis expirez.
Il importe de bien respirer.
Répétez-le dix fois, et notez chaque fois vos réactions.
Soyez attentif aux trois langages suivants : les sensations (messages corporels), les sentiments (messages du cœur) et les pensées (messages mentaux).
Nous vous recommandons de noter toutes ces réactions. Louise et moi l’avons fait afin de suivre nos progrès.
Vous pouvez ressentir des tensions dans la poitrine, des pressions au niveau du visage, une faiblesse autour des yeux ou une certaine légèreté.
Vos sentiments peuvent inclure des commentaires comme je ne peux pas le faire, et cela ne marche pas.
Surtout, ne jugez aucune de ces réactions. Il n’y a pas de réponses justes. N’essayez pas d’être positif ; soyez simplement honnête.
La phrase la vie vous aime comporte seulement quatre mots. Il est inutile d’en rajouter. Ne dites pas : « La vie m’aime parce que » , par exemple, « je suis une bonne personne, je travaille dur, j’ai été augmenté, ou mon équipe de foot a gagné. »
De la même manière, ne dites pas : « La vie m’aimera… si je perds cinq kilos, si je guéris de ce cancer, si je trouve une petite amie ».
La vie vous aime parle d’un amour inconditionnel.
Une fois que vous aurez répété dix fois cette affirmation, « La vie m’aime », nous vous invitons à regarder le miroir et à dire : « Aujourd’hui, je veux accepter que la vie m’aime. »
Une nouvelle fois, notez vos réactions. Et souvenez-vous de toujours bien respirer.
Répétez-le jusqu’à ce que vous ressentiez des sensations agréables, que votre cœur s’allège et que des pensées heureuses vous traversent l’esprit.
La volonté est la clé de la réussite. Avec de la volonté, tout devient possible.
« Il faut encourager les gens à être bons envers eux-mêmes lorsqu’ils pratiquent cet exercice, me dit Louise alors que je prends des notes. Je sais que le travail du miroir peut ressembler à un combat au début. Il peut vous révéler votre peur la plus basique et les jugements les plus terribles envers vous-mêmes. Mais, si vous insistez, vous dépasserez le stade du jugement et découvrirez qui vous êtes réellement. »
Elle poursuit : « La façon dont vous considérez cet exercice est la clé du succès. Il est important de le pratiquer avec légèreté, comme si c’était un jeu. Si cela peut les aider, je préfère que les gens ne l’appellent pas le travail du miroir, mais plutôt le jeu du miroir. »
Il importe que vous répétiez cet exercice spirituel tous les jours pendant sept jours consécutifs, et nous vous conseillons de commencer dès aujourd’hui. Le remettre au lendemain ne le rendra pas plus simple.
« Je sais par expérience que, quelle que soit l’excuse que je peux avoir aujourd’hui, j’en aurai une autre demain », explique Louise.
Rappelez-vous toujours que le travail du miroir ne marche pas en théorie, mais en pratique.
Vous n’avez pas à l’apprécier ou à être d’accord avec ce qu’il représente ; tout ce que nous vous demandons est de le pratiquer. Ainsi, il deviendra facile.
Toutes les gênes ou résistances que vous pouvez rencontrer disparaîtront si vous y ajoutez amour et acceptation.
Si vous le souhaitez, vous pouvez pratiquer cet exercice avec un ami de confiance, un thérapeute ou un coach.
Le but de ce premier exercice spirituel est de vous aider à être en phase consciente avec la vérité de base, Je suis Aimable.
Lorsque vous vous sentirez Aimable, vous expérimenterez un monde qui vous aime.
Souvenez-vous que le monde est un miroir. Il n’existe pas de différence entre se dire Je t’aime et La vie t’aime. Il s’agit du même amour.
Lorsque vous acceptez que la vie vous aime, vous vous sentez Aimable ; et lorsque vous vous sentez Aimable, vous acceptez que la vie vous aime.
Désormais, vous êtes prêt à devenir celui ou celle que vous êtes réellement. (…)
